HUNDERTWASSER
--> Manifestes /1
J’ai lu récemment avec
grand plaisir une étude sur le peintre autrichien Hundertwasser (1928-2000), que je vous
recommande chaudement – malgré une affreuse traduction française -
(HUNDERTWASSER,Harry Rand. Collection TASCHEN, ISBN 3822805297)
Hundertwasser était
peintre, architectonicien, et l’un des premiers « écologistes » au sens
moderne. Il m’est difficile d’extraire certaines de ses thèses de l’ouvrage en
question, qui propose par ailleurs divers manifestes publiés par le peintre de
son vivant. Il m’a semblé plus naturel de proposer ici la retranscription de
ces manifestes, dont voici le premier extrait. Bien entendu, sans l’image, le
propos paraitra peut-être confus, mais le peintre fait appel à des concepts
universels, et sa grande force en tant qu’ « écologiste » fut à
mon sens de ne pas se cantonner à la dénonciation, mais de proposer des pistes,
des solutions pour sortir du « règne de la ligne droite » qu’il
dénonce. Le texte peut paraître parfois grandiloquent et fantaisiste, mais même
dans ces moments, il en émane quelque chose de viscéralement sincère, une
vérité latente, un bon sens évident : quelque chose qui donne envie d’y
croire.
Pour le reste, j’ai
surligné les passages qui me semblent les plus représentatifs. D’autres
manifestes d’Hundertwasser sont à suivre. Bonne lecture...
Manifeste de Hundertwasser/1
« Garderie d’enfants.
Projet architectonique de Hundertwasser pour Francfort-Heddernheim ».
- Multiplication de la nature en réponse à
l’éparpillement du paysage
- Vie en harmonie avec la nature
- Grand air au lieu d’air des villes
- Le désir de romantisme et de créativité
est exaucé
- Toits entièrement recouverts de verdure,
où l’on peut déambuler et se promener
- Maisons économisant de l’énergie, qui
sont fraîches en été et chaudes en hiver
- Plus grande qualité de vie pour les
riverains et les non-résidents
- Un moyen créatif pour sortir de l’impasse
de l’urbanisme, qui fera école dans le monde entier
Ce qui est prometteur n’est
pas nouveau ! Il s’agit plutôt de retrouver la dignité humaine en
architecture. Ou de retrouver la dignité humaine purement et simplement.
Pourquoi manipuler la règle
si insensiblement, alors que chacun sait que la ligne droite est une
illusion dangereuse et commode qui conduit à la ruine ? Il est
incroyable que l’on construise toujours de manière hostile à l’homme et à la
nature, bien qu’il soit établi depuis des dizaines d’années que la mentalité du
Bauhaus est une impasse.
On peut décrire la
mentalité du Bauhaus dans le domaine de la construction de logements comme
suit : sans sentiments et sans émotions, dictatoriale, insensible,
agressive, simple, stérile, austère, froide, non poétique, non romantique,
anonyme et vide. Une illusion du fonctionnalisme. Les maisons où vivent des
hommes ne doivent pas être abandonnées à une mafia internationale de
l’architecture aux actes politiques et culturels, qui joue à des jeux
nihilistes et esthétiques avec les hommes. Quand une mafia de l’art veut
imposer au public une certaine peinture, laide et négative, qui est justement à
la mode – dans les musées et les revues d’art - , c’est moins grave.
La mode artistique moderne
change de toute façon d’année en année, et on a besoin ni d’acheter ni de
regarder.
Quand cette mafia
intellectuelle, hostile aux hommes et à la nature, contraint toutefois les
hommes à vivre durant des générations dans des maisons sans âme conçues selon
une mode perverse, c’est un crime permanent.
Le fait que les occupants
soient obligés de subir des maisons dictatoriales crée exactement la base du
mal intellectuel et physique général dont notre civilisation occidentale,
l’état, la nature et nous-même souffrons.
L’architecte et urbaniste
est aujourd’hui plus que jamais le pantin peureux de commanditaires sans
scrupules. Il est l’exécuteur soumis du lobby de l’industrie en série, de la
mafia de l’argent et de la politique de force. Comme un criminel de guerre et
généralement contre sa conscience, au cas où il en a une, il exécute docilement
les ordres et construit des camps de concentration, où périssent la nature, la
vie et l’âme humaine.
L’emploi aveugle, lâche et
stupide de la ligne géométriquement droite a transformé nos villes en déserts,
aussi bien au sens esthétique et psychique qu’au sens écologique.
La ligne droite et ses produits sont des ulcères cancéreux, aussi bien du point de vue de l’urbanisme que du point de vue médical.
Nos villes sont les idées
saugrenues transformées en béton d’architectes criminels auxquels ne s’applique
pas le serment d’hippocrate qui doit dire ici : je me refuse à construire
des maisons par lesquelles la nature et les hommes se font du mal. Deux
générations d’architectes possédant la mentalité du Bauhaus ont détruit notre
habitat. Depuis qu’il y a des urbanistes, nos villes sont devenues laides.
L’homme a perdu le contact avec la terre. L’homme vit séparé de la terre et de
son milieu naturel. Nous nous séparons de la terre avec le béton et le plastique.
L’eau de pluie ne peut plus s’infiltrer dans le sol des villes et est conduite
ailleurs au moyen de tuyaux.
Même nos morts, enterrés
dans des cercueils imperméables à l’air et à l’eau à quatre mètres au-dessous
de la couche d’humus, ne peuvent entrer en contact avec les plantes et ne
peuvent se transformer en humus.
La rentabilité détournée de
cet ensemble est prodigieuse, car il faut dire ce qui suit à propos du calcul
des frais et profits : dans le traitement des données de nos ordinateurs,
toutes les données concernant les besoins écologiques, créatifs, et les désirs
et besoins psychiques des hommes devraient être mémorisés et être pris en
considération en tout premier lieu. On peut ainsi également calculer avec des
moyens modernes, avec des ordinateurs, dans le domaine de l’architecture, de
l’urbanisme, de l’économie, de la circulation, de l’énergie, de l’architecture,
ce qui est cher et ce qui est bon marché, ce qui mène au but et ce qui est
nuisible et ce, dans le contexte général, prendre en considération toutes les
données disponibles, de même économiques et autres, doit être la condition
préalable pour tous les calculs.
A quoi sert par exemple une
maison bon marché, qui nous revient cher parce que les promoteurs et les
architectes ont seulement additionné et calculé le prix des matériaux de
construction, le prix du terrain et les salaires.
Les autres facteurs n’ont
pas été mentionnés sur l’addition, bien qu’il soit parfaitement possible de les
calculer : dépenses accrues pour le chauffage et la réfrigération,
l’élimination de la poussière et du bruit, l’air pollué rien que pour ne pas
avoir projeté par exemple un toit recouvert d’herbe.
Les frais galopants, causés
par le vandalisme, la criminalité, l’insatisfaction, les névroses, la perte de
travail, les frais d’hôpital, la désertion des villes, la violation de
l’amour-propre et de la dignité humaine, le bâillonnement de la créativité de
l’individu, tout cela causé par la mauvaise planification et la négligence des
composantes écologiques et créatives dans leur interaction variée et dans leur
ensemble complexe. Ce calcul est garanti, il est seulement présenté un peu plus
tard, à l’occasion de quoi les promoteurs avaient jusqu’ici beau jeu de
démentir les relations, les causes et les effets, bref leur responsabilité.
Mon activité créatrice à la
construction de cet ensemble doit donc seulement être vue comme une
contribution préliminaire à la création individuelle. La nature, l’art et la
création constituent une unité. Nous n’avons fait que les dissocier. Quand nous
faisons violence à la création de la nature et quand nous détruisons la nature
en nous-mêmes, nous nous détruisons nous-mêmes, seule la nature peut nous
enseigner la création, la créativité. Notre véritable analphabétisme est
l’incapacité de travailler créativement. Nous devons viser un traité de paix
avec la nature, la seule puissance créatrice dont dépende l’homme. Ce traité de
paix avec la nature devrait entre autres comprendre les points suivants :
- Nous devons apprendre le langage de la
nature pour nous entendre avec elle.
- Nous devons rendre à la nature les
territoires que nous avons occupés et dévastés, par exemple selon le
principe que tout ce qui est horizontal en plein air appartient à la
nature. Par exemple les toits, les rues.
- Tolérance de la végétation spontanée.
- La création de l’homme et la création de
la nature doivent de nouveau être réunies. La division de ces deux
créations a eu des conséquences catastrophiques pour la nature et pour
l’homme.
- Vie en harmonie avec les lois de la
nature.
- Nous sommes seulement les hôtes de la
nature et nous devons nous comporter en conséquence. L’homme est la
vermine la plus dangereuse qui ai jamais dévasté la terre. L’homme doit se
renvoyer lui-même dans ses limites écologiques afin que la terre puisse se
régénérer.
- La société humaine doit redevenir une
société sans déchets. Car seul celui qui respecte et recycle ses propres
déchets transforme la mort en vie et a le droit de se perpétuer sur cette
terre du fait qu’il respecte le cycle laisse faire la renaissance de la
vie.
Le désir humain d’avoir une
maison en harmonie avec la nature et la créativité de l’homme est immense.
Mais ce désir naturel est
précisément refusé aux occupants, surtout aux enfants et aux écoliers ? Il
y a toujours des êtres humains qui doivent apprendre et habiter dans des
bâtiments ressemblant à des camps de concentration, préfabriqués à la machine
ou dépourvus d’âme, froids et sans émotion.
Pourquoi avons-nous tous
ces nouveaux matériaux si nous ne les utilisons pas pour ramener la nature dans
la ville. Nous avons du ciment, du béton armé, du plastique, du bitume, du
caoutchouc synthétique, de l’acier inoxydable, de l’argile expansée et des
mélanges composés à partir de ces matières, ainsi que les anciennes matières
telles que le goudron, la brique, le bois, le caoutchouc, etc.
Ce devrait être un défi
pour tout architecte que de construire un habitat non seulement pour l’homme
mais aussi particulièrement pour la végétation qui pousse spontanément en
ville. Un bon édifice doit avoir réalisé et conjugué deux choses :
harmonie avec la nature et harmonie avec la création humaine individuelle. Nous
avons trop longtemps assujetti la terre, avec les effets catastrophiques que
nous connaissons tous.
Maintenant, il est grand
temps que nous fassions le contraire, que nous allions sous terre, que nous
ayons la terre au-dessus de nos têtes. Cela ne signifie nullement habiter dans
des grottes obscures ou dans des caves humides, bien au contraire, on peut
avoir en même temps de la terre et de la forêt au-dessus de sa tête et la
lumière. Si nous devons aller sous la
nature, cela veut dire, symboliquement et pratiquement, que nous devons à
nouveau vivre dans des maisons où la nature est au-dessus de nous, car il est
de notre devoir de replacer sur le toit la nature que nous assassinons du fait
que nous construisons une maison. La nature que nous avons sur le toit est un morceau de terre que nous
avons assassiné en plaçant la maison à cet endroit. Nous avons besoin
de barrières esthétiques afin que le monde soit à nouveau plus grand. Mais
au lieu de cela, nous cassons tout à l’endroit où nous sommes et cassons
également tout là où la nature est encore vierge. Et pour y parvenir, nous
construisons des rues laides afin que tout soit également cassé entre-deux. Le
monde devient donc partout petit et laid. Ce dont nous avons un besoin
urgent, ce sont les obstacles esthétiques. Ces obstacles esthétiques
sont constitués d’irrégularités non règlementées, et ces irrégularités non
règlementées sont constituées ou de végétation spontanée ou de la créativité
individuelle. Ce sont là des créations qui se complètent mutuellement.
Quand l’individu profite de son droit à la fenêtre et façonne son
environnement, ou plutôt quand chaque individu donne une chance à la végétation
spontanée dans son domaine, on n’a pas
besoin de voyager longtemps pour arriver dans le royaume voisin, car le paradis
est le même chez le voisin du coin ou là où l’on se trouve soi-même.
On ne peut pas chercher
et trouver des paradis, on ne peut pas saisir des paradis ou les faire
fabriquer par les autorités.
(Maison Hundertwasser à Vienne)
L’ensemble de Heddernheim
montrera l’exemple dans le monde entier.
Habiter et travailler près
de la nature d’une façon digne de l’homme est à la portée de tout le monde et
possible, et même économiquement meilleur marché, comme nous l’avons déjà
dit : la rentabilité détournée de cet ensemble est immense, c’est la
méthode de construction normale hostile à l’homme et à la nature qui nous
revient cher à tous.
- A vol d’oiseau, l’ensemble de Heddernheim
est complètement vert, comme les clairières et les parcs naturels.
Le
fait que la maison soit recouverte d’herbe et de forêt sans compromis fournit
une excellente isolation : fraîche en été, chaude en hiver. Dans ma
maison, à Vienne, un radiateur suffit pour chauffer tout l’appartement
(économie de chauffage et de réfrigération= économie de frais énergétiques)
- Au lieu de partir en vacances, on préfère
rester sur place, car c’est enfin une maison où l’on est heureux et où
l’on se sent tout à fait bien.
- L’air respirable est amélioré, enrichi en
oxygène, l’humidité est stabilisée, il n’y a presque plus de poussière.
Le
climat est meilleur, la pollution est fortement diminuée.
- L’état de santé général est bien
meilleur, on se sent en meilleure santé. On a moins de maux de tête, moins
de dépressions, moins de maladies (ce que cela entraîne comme économie de
médicaments, de médecins, de séjours à l’hôpital et en sanatorium, de
frais psychiatriques est énorme. A long terme, on économise plus que les
frais de construction.)
- Les conséquences très graves, qui tirent
leur origine du fait que l’on est obligé d’habiter et de travailler dans
des bâtiments hostiles aux hommes et à la nature – comme le vandalisme, le
terrorisme, les dommages psychiques et le suicide – sont en grande partie
éliminées.
Comme pour la maison
Hundertwasser, je vois le seul inconvénient de l’ensemble de
Francfort-Heddernheim dans l’afflux quotidien de visiteurs venus du monde
entier pour examiner la construction parce qu’ils veulent eux aussi vivrent
dans un milieu aussi harmonieux.
La réponse à cela est
d’abord : délimitation pour protéger les usagers qui y travaillent,
puis : construire davantage de maisons de ce genre car la demande est
illimitée. Les toits sont entièrement recouverts de verdure, partout on peut
marcher dessus, et les usagers peuvent « déambuler et se promener ».
Il n’y a aucun point de la
maison que l’on ne puisse atteindre facilement. On peut séjourner sur les
toits, dans la verdure et sous les arbres. Une vision d’avenir utopique et
féerique, telle que seuls les enfants osent l’imaginer, devient ici réalité
concrète dans toute l’acception du terme. Du fait que les toits des maisons
sont recouverts d’arbres et de plantes, le séjour est presque double parce que
le toit, qui est autrement stérile et mort, est transformé en prairie, en
forêt, en belvédère, en par cet en jardin, les usagers sont fiers de leur bonne
conscience vis-à-vis de la nature.
Tout ce qui est horizontal
en plein air appartient à la nature.
Ici, c’est réalisé.
L’homme est l’hôte de la
nature et doit se comporter en conséquence.
Ici, c’est réalisé.
Sur les toits, l’homme doit
rendre à la nature ce qu’il lui a pris en bas illicitement en construisant une
maison.
C’est une contribution
active à la paix avec la nature, ce n’est pas seulement parler mais agir et
montrer l’exemple. Cet ensemble au toit recouvert d’herbe est une réponse
prometteuse à l’urbanisation effrénée des villes. L’anonymat des masses de
gens, qui sont entassés les uns sur les autres dans les cages à lapin des
grands ensembles, est une mauvaise méthode.
L’urbanisation effrénée et
la destruction d’immenses paysages naturels par des cités banlieusardes
monotones et uniformes sont tout aussi mauvaises. Los Angeles en est un exemple
effrayant. Entasser les hommes en hauteur ou en largeur est une mauvaise
méthode. Dans la cité aux toits recouverts d’herbe ou d’arbres, par contre, la
nature prend de l’ampleur.
(Maison Hundertwasser à Vienne)
Car malgré la création
d’espace vital pour l’homme, on crée pour la nature plus d’espace vital qu’il
n’y en avait auparavant.
On crée un nouveau paysage.
L’ensemble créé par Hundertwasser à Heddernheim réalise les véritables
aspirations de l’homme d’aujourd’hui à la sécurité, au romantisme, et à la
communauté en harmonie avec la nature. Il ne reste plus à l’adulte souffrant de
l’impotence créative qui lui a été inculquée que la possibilité de se rappeler
sa propre enfance, de partir de là et de poursuivre là où on l’a arraché à ses rêves, qui n’étaient pas
des rêves, mais sa base réelle, les racines de son existence, sans lesquelles
il ne peut jamais être vraiment un homme.
C’est précisément dans
l’architecture pour les jeunes, c
Les mauvais traitements
psychiques, issus de ce genre d’écoles construites à la manière des camps de
concentration, dépassent dans leurs conséquences les châtiments corporels
d’autrefois.
Les préjudices psychiques
durables pour la jeune génération, qui a du grandir dans les établissements et
jardins d’enfants hostiles à la nature et à la créativité des dernières
décennies, sont immenses. Les enfants peuvent encore moins se défendre contre
un environnement prémédité qui tue l’âme et la vie que les adultes. A
Heddernheim, les jeunes auront un contact continu, positif et stimulant avec la
nature, la beauté et la créativité. Cela marquera leur vie, et ils garderont
toujours en mémoire les années de jeunesse passées dans cette maison comme
quelque chose de beau qui influencera positivement leur vie.
Ils transmettront également
à d’autres ce qu’ils ont personnellement
vécu de positif et de beau et le répandront dans le monde. L’homme de
Heddernheim sera réellement libre – et non déprimé par des constructions
intellectuelles et théoriques. On peut seulement faire des paradis soi-même,
avec sa propre créativité, en harmonie avec la libre créativité de la nature.
Hundertwasser
Vienne, le 14 mai 1987.
BGM :
Ecrit par antonz, le Mercredi 12 Janvier 2005, 09:31 dans la rubrique "archives".
Commentaires
la critique
philipe
03-02-05 à 14:35
incrompréhensible ta traduction
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Re: la critique
antonz
04-02-05 à 09:07
...Mais, ce n'est pas la mienne! (Je n'entends rien à l'allemand!)
C'est celle de l'ouvrage en question, et effectivement elle n'est pas grandiose (mais bon, cela reste très compréhensible, je trouve...)
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Re: Re: la critique
corinne
26-09-05 à 13:39
Bonjour je suis étudiante en Dut Gestion urbaine, et j'ai un exposé à réaliser sur cet artiste, auriez-vous des docs ou des liens utiles à me transmettre, merci.
Je trouve ce que vous vaez fait sur hundertwasser très intérressant.
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Re: Re: Re: la critique
antonz
26-09-05 à 15:08
Je vous remercie pour votre éloge, mais je n'ai fait que recopier le texte en question: je vous recommande chaudement la lecture de l'ouvrage intégral, qui doit être disponible aux éditions TASCHEN.
Malheureusement, je n'ai pas plus de connaissances sur le peintre, mais peut être serait-il interessant de relier ses travaux à ses "ennemis jurés" du BAUHAUS....
Sur le plan stylistique, bien sûr, il est plus simple de le relier à ses "collègues" de l'école de Vienne: Klimt, Schiele...
Je vous souhaite en tous les cas le succès de vos recherches...
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